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 Calvin Lindley

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Calvin Lindley Vide
MessageSujet: Calvin Lindley   Calvin Lindley EmptyLun 23 Juil - 17:53

[Seuls les administrateurs ont le droit de voir cette image]
Calvin Lindley
Feat. Izaya Orihara (Durarara !!)


« Give me a tear that I delight of your person. »


[Seuls les administrateurs ont le droit de voir cette image]
» Nom : Lindley
» Prénom : Calvin
» Nationalité : Un pur anglais my dear ~
» Âge : J'ai l'air d'avoir 21 ans, mais j'en ai en réalité 235.
» Sexe : T'as qu'à vérifié si tu veux vraiment savoir ~
» Date de naissance : Le 4 mai .. Ouai c'est ça.
» Race : Démon, tu savais pas ?
» Rôle dans la société : Haha, tu le découvriras bien de si tôt ~
» Sexualité : Je m'embête pas à chercher, donc Bisexuel serait le mieux approprié ~

» Aime : Les humains ~~ Voir jusqu'où peut aller la folie humaine ~~ Observer et manger ~~
» Déteste : Tu le découvriras par toi-même my dear ~
» Autres détails : Rien à dire sur ça héhé ~
« The Shadow Lost »


» Your Character «

« Everyone has his character, this is what makes us unique. »

Je n’ai jamais été très simple d’esprit, on me l’a reproché tant de fois qu’il me faudrait quelques jours pour pouvoir compter le nombre de ces reproches. Et on me le dit toujours autant, et je pense, qu’on me le dira jusqu’à tant que je finisse ce que j’ai à faire ici. Cependant, ce n’est pas comme si je m’en préoccupais. Non, à vrai dire, et pour tout avouer, je m’en fiche complètement ; les pensées des autres sont les derniers de mes soucis actuels, sachez-le.

Certaines personnes qui ont eu la chance –ou la malchance, ça dépend du contexte- de parler avec moi, m’ont dit plusieurs fois –je ne compterai toujours pas-, que mon caractère et la façon que j’avais de parler et de penser étaient peu communes. Quoi dire à part … Merci ? Je ne cherche pas à être la perfection, je n’en ai que faire de cela. Je suis comme je suis, on ne me changera pas. Et je ne demande pas à changer non plus, je me trouve bien comme cela, plutôt que d’être tout mielleux et attentionné envers les autres. Que d’hypocrisie dans ce monde.

On m’a souvent dit que j’étais l’égoïsme même. Je prends cela comme le meilleur des compliments, merci bien. Il est vrai, et je l’avoue ; je ne suis ni attentionné envers les autres, ni serviable, ni rien qui pourrait me faire passer pour une bonne personne, prête à aider qui que ce soit dans n’importe quel contexte. Je me fiche royalement des autres, je ne les traite que comme des pions, et s’en est déjà bien assez.

Ensuite, on me dit après cela, que je suis plutôt lubrique dans mon genre. Lubrique ? Encore merci mes chers. Que de compliments à ce que je vois ! Oui, je suis salace, oui j’ai un grand intérêt pour la luxure et tout ce qui se rapporte à elle. Que dire de plus sur cela ? Ah oui ; j’en suis très fier.

On me dit également, que j’ai l’air plutôt égocentrique, que je ne fais que parler de moi, que je ne sais faire que cela, beaucoup me l’ont dit, oui. Personnellement, je ne trouve pas spécialement que je parle de moi. Cela m’arrive bien sûr, comment ne pas parler de ma personne, franchement. Il y a tellement de choses à dire sur moi, mais je ne pourrai pas tout raconter en une traite, ça serait sans détails, et au final, inutile. Pour tous ceux qui trouvent que je me prends pour le centre du monde ; avant de dire des bêtises, cherchez des preuves.

Je dois vous préciser une petite chose, qui n’est pas aussi petite tout compte fait, c’est un de mes traits de caractères qui fait que je suis unique en mon genre. Moi, j’aime les humains. Tous les humains, aussi nombreux qu’ils peuvent être. Cela fait de moi un grand philanthrope. J’aime les entendre bavasser, les regarder marcher et piétiner dans les rues de Londres. J’aime les voir, tellement intéressants … Donc ne me croyez pas comme la plupart de mes congénères ; je ne suis point misanthrope.

Pour en finir avec mon cher caractère que personne n’envie, j’ai une qualité, la seule je pense, à part si vous trouvez que ce que j’ai dit avant cela étaient de bons états d’esprits. Et ne cherchez pas à me contredire, hm. Pour en revenir à ce que je disais, je suis honnête, et c’est là ma seule et unique qualité. Jamais je ne vous cacherez ce que je pense de vous, en aucun cas. Que vous soyez bon ou mauvais, que vous soyez beau ou laid, je vous le dirai toujours, quand l’occasion se présente, sans parler dans votre dos ou quoi que ce soit ; en face de vous je le dirai, soyez-en sûr.

» Your Physique «

Disons que … me décrire physiquement va être un tantinet longuet. Il y a tellement de choses à dire sur mon physique, pour sûr, ne vous mentez pas. Je ne suis pas trop du genre à passer inaperçu dans les rues de la ville, ou que ce soit ailleurs. On me remarque, et ça ne fait qu’augmenter mon estime de moi-même. Je peux peut-être passer pour un excentrique, les gens n’en pensent pas moins, j’en suis persuadé. Peut-être même plus … Enfin, passons les dires de bonne manière, je suis comme je suis, prenez-le bien ou mal, c’est votre choix.

Chacun est unique en son genre, je me répète sûrement d’ailleurs, mais j’en suis peut-être une preuve vivante ? Enfin, si on peut dire que je suis « vivant » à bon terme, et en toute honnêteté. Et comme je suis honnête, je ne me décrirai pas en exagérant les choses, je ne dirai que ce qui est vrai et ce que les personnes perçoivent la première fois qu’ils me voient.

On me dit que j’ai la peau blanche, mais elle est juste très clair, je ne suis tout de même pas de blanc de marbre. Celle-ci est aussi dépourvue d’imperfection, douce au toucher … Et on me demande comment est-ce possible ? Je soigne juste mon apparence, sans ça, comment faire bonne impression auprès des jeunes demoiselles du pays ? Je ne suis aucunement comme ces crasseux qui font si peur à voir … Ils me font même de la peine, contrairement à eux, je suis le vainqueur niveau beauté.

Ma chevelure, coupée courte avec quelques mèches retombant sur mon visage, au-dessus de mes sourcils, sont d’une couleur noire de jais. Quoi de plus normal, après tout. Je suis une âme damnée, la plupart d’entre nous on la chevelure noire. Cependant, mes yeux restent rouge sang, ce sont leur couleur naturelle, je n’y peux rien du tout. C’est ce qui suscite la curiosité des gens à propos de ces derniers. Ils croient tous que je suis un albinos, et normalement, ceux-ci ont une chevelure claire, par exemple blonde claire, ou encore blanche. Non, mais tout le monde fait l’erreur en me voyant, je ne suis point albinos, je suis juste un démon, c’est tout.

Le reste de mon corps n’est que peu développé, chaque membre constituant mon anatomie est frêle, mais ça je n’y peux pas grand-chose. Ce n’est pas parce que mon corps est faible qu’il l’est tout autant. Je suis tout de même immortel, ne l’oubliez pas. Ce n’est pas une masse qui fait la force. Une force reste une force, rien de plus.

Pour en finir avec cette description, je ne porte pas de vêtements très extravagants. Un maillot noir, que je revête d’un manteau à fourrure sur la capuche, les bas des manches, et en bas du vêtement. Un pantalon noir, rien que des accoutrements sobres. Je n’aime pas les couleurs, c’est bien pour cela.

Satisfaits mes chers ? Je n’ai rien à dire de plus, les gens me voient comme cela, je n’ai donc rien à ajouter ou quoi que ce soit. La façon dont vous pouvez me voir peut être différente ; mais personnellement, je m’en fiche complètement.

» Your Story «

Je suis né dans une famille assez aisée, bourgeoise en quelque sorte. Mon père était un homme réputé, et je n’en étais que fier. Fier au point de vouloir lui ressembler, comme tout petit garçon de mon âge. J’étais tellement humain, j’avais juste la joie de vivre, celle que tous les enfants avaient. Une joie de vivre qui ne s’attarda pas sur moi, qui partis comme elle était venue. Cette vie heureuse, je la regrette tant, seulement on me l’a arraché de force, j’étais juste un enfant après tout, je ne pouvais rien. Rien du tout.

C’était dans une grande maison où je vivais à l’époque. Elle était immense pour moi, tout petit enfant que j’étais. Mes parents faisaient partis de la bourgeoisie anglaise, j’étais fils unique, et je ne côtoyais aucun enfant de mon âge. Tout simplement parce que mes parents étaient paranoïaques. J’étais leur seul fils, ils s’imaginaient toujours que quelque chose pouvait m’arriver, ils ne me laissaient donc pas sortir de notre maison, sans leur surveillance bien sûr. Et je m’ennuyais ferme. A cause de leur rang dans la société, ils n’étaient que très peu présents, je ne les voyais pas beaucoup. C’était toujours les domestiques qui s’occupaient de moi. Mais je ne leur en voulais aucunement. Ce n’était pas de leur faute, à vrai dire. C’est la société qui voulait cela, je m’y tenais donc. Et puis je n’étais pas si malheureux que ça, après tout.

Plus je grandissais, et plus je me sentais confiné, étouffé dans cette maison que je connaissais par cœur. Rien ne m’intéressait, je ne pouvais jamais sortir ou aller en ville, j’étais comme emprisonné dans ma propre demeure. Mais je ne disais rien. Je souffrais en silence, mais je ne disais rien, ni aux domestiques, ni à mes parents, ni aux personnes qui nous rendaient visites presque tous les jours. J’attendais juste de voir s’ils allaient le remarquer un jour. Seulement jamais ils ne le remarquèrent, j’en déduisais qu’ils ne se préoccupaient pas de mon état. Je me sentais inutile, seul, seul dans un monde fermé, j’étais enfermé dans une sorte de prison intérieure, et personne ne pouvait m’aider. Personne.

Seulement, ce jour-là arriva, et se fut le plus long, le plus terrifiant de mon existence. J’avais 16 ans. Je n’étais pas encore adulte, qu’est-ce que je savais de la vie ? Surtout que je ne connaissais quasiment rien en dehors de ce qu’on m’avait appris ici, dans ma demeure. Pourtant, j’avais trouvé au plus profond de mon esprit la volonté de partir, loin de ma prison pendant quelques temps. J’étais donc parti en douce. Personne ne remarqua ma disparition au moment même, mais sûrement après. Je ne voulais rien de mal, je voulais juste me changer les idées, m’aérer l’esprit. Je parti donc quelques jours, pas plus d’une semaine. Pendant ma fugue, je pensais que la vie chez moi avait peut-être été bouleversée ; les domestiques devaient me chercher partout, ils devaient être alarmés de tout cela. Et mes parents, que faisaient-ils, eux ? Me cherchaient-ils, ou ignoraient-ils même que je n’étais plus là ? Non, les domestiques devaient leurs avoir dit. Peut-être se préoccupaient-ils tout de même de moi, maintenant que je n’étais plus là. C’est ce que je pensais. Du moins, je n’avais rien prévu de spécial à mon retour, ce fut juste un choc.

Le feu. Les flammes. Tout n’était que braise géante dans le ciel devenu grisâtre à cause de la fumée. Pourquoi, pourquoi ? Etait-ce de ma faute tout cela ? Etait-ce parce que je m’étais enfui que le feu se propageait et dévorait la maison ? Nan, cette pensée ne resta dans mon esprit que quelques minutes, juste avant de voir des personnes autour de la demeure en feu. C’était eux qui avaient fait cela ? Que pouvais-je faire ? Je ne savais pas, tout était embrouillé, mon esprit était tourmenté, je n’arrivais plus à penser. Je perdais totalement le contrôle de moi-même, si bien que je m’écroulai au sol, voyant les fautifs de cet incendie se diriger vers moi. Mes parents étaient morts, j’allais mourir aussi. Quel triste sort.

Qu’arrive-t-il après la mort ? Est-ce beau, magnifique, merveilleux, ou bien laid, affreux, horrible ? Est-ce doux ou douloureux ? Un rêve ou un cauchemar ? Le paradis ou l’enfer ?
Je me sentais changé, je ne me sentais plus comme avant, c’était étrange. Une atmosphère lourde planait autour de moi. Etais-je mort ? J’ouvris alors doucement les yeux, découvrant un lieu qui m’était tout à fait inconnu. Ou étais-je ? J’étais donc toujours en vie, les agresseurs m’avaient laissé la vie sauve ? Je ne comprenais strictement rien, mon esprit en était encore troublé. Si je n’étais pas mort, ou étaient mes ravisseurs, et qui m’avait emmené dans ce lieu désert, humide et qui avait une odeur très étrange. J’étais seul. Personne autour de moi. Après quelques minutes, je remarquai une sorte de carte ou de mot, posée non loin de moi. Je la pris, et la lue. « Je pense à toi petite âme damnée, bonne chance pour ta survie dans ce monde. » Qu’est-ce que c’était ? Qu’est-ce que ça voulait dire ?! Une blague, une plaisanterie ? Ou bien, une vérité ? Une âme damnée ? Un démon, ces êtres surnaturels, existaient-ils vraiment alors ? Et cette phrase écrite, voulait-elle dire que j’en étais … un ? Moi qui admirais ces êtres surnaturels depuis que j’étais petit, les anges, les démons … Je savais presque tout sur eux, même si l’on m’interdisait de parler de cela à la maison, avant. Je relisais sans cesse la carte, les quelques mots qui me laissaient troublé.

Après plusieurs heures passées dans cet endroit, à relire cette carte maintes et maintes fois, je découvrais un sentiment de faim intense. Une faim différente de celle que j’avais eue dans mon enfance. J’étais juste affamé, d’une chose que je n’avais jamais encore goûtée et qui pourtant me faisait saliver. Je savais ce qu’il fallait, je l’avais lu tellement de fois étant petit, ces informations sur les démons, les « mangeurs d’âmes ». Je n’arrivais toujours pas à me faire à l’idée que j’étais cela, que j’étais ce genre de monstre « vivant ». Ce n’est pas que je ne l’acceptais pas, mais je restais septique. Sortir, il fallait que je sorte de là, voir si le monde lui aussi avait changé, comme moi.

Je sorti donc de cet endroit, et en voyant la lumière du jour me frapper, je compris peu à peu où j’avais été pendant ces heures qui étaient passées à une vitesse folle si je pouvais dire. Je sortais d’une cave à vin. C’était pour cela que c’était humide, et qu’il y avait une odeur assez étrange. C’était la cave d’une belle et grande maison. Je m’éclipsais alors aussi vite, ne voulant pas me faire remarquer ici. J’étais loin de la grande maison d’où j’étais sorti de sa cave. Seulement ce qui ne me tapa pas à l’œil, et ce que je ne savais pas, c’est que c’était l’emplacement de mon ancienne demeure, exactement positionnée à cet endroit. Cependant je ne le remarquai pas, juste parce que c’était un nouvel hère, une nouvelle bâtisse, et une nouvelle famille qui prenaient la place des miens.

Des années passèrent. Deux siècles et quelques passèrent, et j’étais toujours là, en « vie ». Je voyais la mort entourer beaucoup de monde dans cette ville, capitale londonienne que je fréquentais maintenant depuis que j’étais devenu … ça. Je tuais, je ne pouvais m’en empêcher. Au début je trouvais cela cruel, mais je m’y suis habitué désormais. Mais je ne fais pas d’abus pour autant. Et puis je ne peux pas trop, j’ai trouvé un humain, une humaine, une lady. Passer ce pacte –que je ne décrirais point, ça enlève le charme mes chers- avec cette petite humaine, c’était comme revoir en elle mes souvenirs. Elle aussi avait été perdue dans les flammes dévastatrices. Elle avait appelé la mort, j’étais venu. Je l’ai sauvé, et je la protègerai coûte que coûte. Nous sommes liés dès à présent, je suis le serviteur et elle est le Maître.

» Behind the Mask «

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Pseudo : Les plus courant xD Mila, Alois, Loïssa, Crystal ~ Mais appelle-moi Mila 8D
Age : 14 ans ~ Ouai j'ai l'âge parfait je sais 8D /pan/
Loisirs : Je lis, je dessine, je RP, je dessine, je graph, je dessine .. XD /sbaf/
Niveau RP : C'est bon ça fait un an maintenant, alors chut XD
Comment as-tu trouvé le forum ? .. XD J'en ai marre d'y répondre à cette question, trouvez par vous-même '-'
As-tu trouvé ce que l'on cherche ? Récupéré par Doll ♥
Autre chose à dire ? Je sais j'ai mis trois plombes à faire la fiche, mais ; it's not my fault D8 /pan/


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Calvin Lindley

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