Je suis une demoiselle à fort caractère. Je ne supporte guère me faire marcher sur les pieds. Je suis malgré tout très appréciée car je suis très sociable avec toutes les personnes qui m'entourent. Je vais toujours au contact des gens. Pourquoi ? C'est comme ça, j'aime vraiment cela et puis il faut de tout dans le monde, non ? N'oublions pas que les personnes associables sont juste étranges, même si ça fait partie de leur charme.
Mais dans la vie de tous les jours avec tout ceux qui me sont proches, je suis une véritable chieuse. Je suis aussi une véritable amie. Une amie qui prend soin de tous ceux qui l'encerclent dès qu'ils ont un problème. Je suis quelqu'un de présente pour eux, pour tout le monde. Telle une véritable ange… Chose que je suis, non ? Mais on pourrait croire que je suis amoureuse de certains. Cette impression est tellement forte à cause de mes liens avec eux. Malgré cela aucun d'eux m'intéresse car je n'ai qu'un seul et unique élu de mon cœur, dont je suis partie à sa recherche.
Dire que je suis une fille facile serait faux ; et pourtant je suis si proche de tant de gens qu'on pourrait l'y croire. Mais bon, réussir à séduire mon cœur et juste mission impossible malgré qu'une personne l'ait faite. Il faut dirre que je suis difficile et que j'utilise des "je t'aime" partout pour avoir les gens. N'allez surtout pas dire que je manipules les gens, bien sûr, c'est faux ! C'est juste pour amadouer les gens, lorsqu'ils sont mutin.
Je suis également une « Crazy Girl», comme on me surnomme, à cause de mes tendances de déjantée. C'est comme si j'allais loin dans mes pensées. En effet, m'imaginer avec celui de mon cœur me plaît bien. Mais avec mes amies, il est difficile de trouver plus active que moi car je suis toujours là pour animer, faire la conversation …
Par contre, dans les études et le travail, seule une chose m'envahit si souvent : la paresse. Je ne trouve aucune envie à étudier, car je suis si bien dehors, dans la campagne, la nature, avec les amies.
Et pourtant j'ai déjà appris tant de choses par le passé. La plus marquante et la meilleure ? La musique et le dessin. Deux domaines ou j'excelle tant. Lorsque je peux m'amuser à faire du sport je le fais, mais sinon, la paresse sera toujours là. Et oui, je suis une grande flemmarde.
Et mon corps parlons en non ? Comme beaucoup de filles, je ne m'aime pas trop, je me trouve pas jolie. Peut-être est-ce parce que j'aime tant manger ? A pas d'heure surtout, mais il le faut bien pour faire passer ma tristesse de sa rare présence.

Sous la forme humaine, je suis une demoiselle rayonnante de joie, de bonne humeur et surtout débordante de joie de vivre. Ma longue chevelure blonde et lisse avec laquelle j'aime tant jouer, me donne un côté si élancé dont je suis si fière. Mais pourtant j'aime changer si souvent de couleur de cheveux ; cela me procure un si bon plaisir car par le passé, il m'était impossible de faire cela tant mes cheveux étaient si bizarre et énervant. Heureusement que maintenant grâce à l'ange que je suis, je peut faire cela à ma guise.
Sinan mon visage pointu avec un regard profond et gai, avec des yeux couleur marron hérités de ma mère, ne font qu'accentuer la douceur de l'être que je suis. De plus le nez pointu que j'ai, avec une petite bouche rose mais si pulpeuse et brillant renforce mon côté si charmeuse. Et pourtant aux yeux de tous, j'ai l'air d'une pétillante jeune fille, alors que je préfère tant le côté charme de mon plus jeune âge.
Vestimentairement, j'ai pu héritée du côté classe de la noblesse dont j'hérite à cause de mes parents. -Chose que je n'assume pas du tout hein- Donc régulièrement je suis plutôt vêtu d'une robe assorti à mes envies et à mes cheveux, avec des gants, un chapeau et des chaussures à talons, également assortis à la couleur de ma robe. Régulièrement, je porte quand même du rouge et blanc qui sont d'ailleurs mes couleurs préférées. Cela me rappelle tant ma défunte mère, qui unissait tout le temps des bouquets de roses de ces deux couleurs. De plus, lorsqu'elle était dans une robe de couleur blanche lors de diverses réceptions, elle était juste splendide ; telle une ange descendue du ciel.
Seules l'hiver la saison que j'aime le moins, m'oblige donc à m'équiper fortement ; avec un gros manteau et très chaudement en bas. Sa me rend grosse et cela m'empêche de bouger correctement avec mes amies, tout ce que j'aime pas en faîtes.
Mais mon pauvre corps, bien fin mais si petit ( Environ 1m65 ) - Je sais je suis petite, mais chut- n'est que peu entretenu malgré mon effort, - De temps en temps hein- de manger correctement et de faire un peu de sport. Malgré que la nourriture soit mon grand péché mignon, et en aucun cas j'ai dit que j'en faisais souvent hein, car c'est si dur le sport.

Je suis née le 1er Février 1878, sous un soleil rayonnant de plein de fouet à Londres. C'est peut-être pour cela que j'aime tant le soleil et que je suis si rayonnante, pleine de joie et de bonne humeur, malgré un pays réputé pour le mauvais temps. Mais bon malgré cela j'avais tout ce que je voulais, étais-je peut-être trop gâtée ? Car dès fois, je m'en serais bien passée. Mais bon mes parents tenaient vraiment à ce que j'ai tout ; et puis ce n'était pas un problème du tout, car l'argent coulait à flot chez nous. En effet mon très cher père appelé Jack, avait fait fortune dans les énergies de Londres et ma mère appelé Mary, était issues d'une grande famille noble. Tout ceci m'était fort égale, car je m'en fichais de l'argent, des réceptions et tout le patatras qui allait avec. Tout ce que j'aimais faire, et que j'ai toujours aimée était de m'amuser. M'amuser à ne pas en finir, rire et faire partager toute ma bonne humeur à tous dans mes délires.
Il est vrai que mes parents voulaient que j'étudie bien, mais je n'en avais que faire. Seules les arts me plaisaient, et encore car je n'avais qu'un réel attachement pour le piano et les dessins où j'étais très douée. Malgré le temps, c'était bien la seule chose où je n'avais pas la paresse de le faire ; composer, jouer et inventer étaient des choses fort passionnantes pour quelqu'un comme moi. C'est à dire, où l'imagination débordait à ras bord. D'ailleurs nul ne pouvait s'opposer à moi sur ce point, j'étais bien la seule à pouvoir trouver tant de choses à dire et à faire ; car tout ce que je pensais était dit et fait, malgré que cela me joue des tours devant mes parents certaines fois.
Heureusement, mes amies ne le prennent pas comme cela quand je suis avec eux. Je suis si souvent la grande chieuse, mais cela fait partie de mon charme. – Et puis si y sont pas contents, ils ont qu'a aller voir ailleurs non?- Mais je sais qu'il ne m'abandonneront pas, peut-être même jamais car sans leur petite folle d'Hailey que pourrait-il faire ? Moi qui suis si présent pour eux et tout. N'allez pas dire que je suis narcissique hein, car ce n'est pas le cas ; bien au contraire je suis quelqu'un de très généreuse.

« Une flamme brûle au fond de mon cœur, une passion qui m'incendie avant même que je le sache, mon papillon troublé y vole tout autour, avant d’atterrir dans tes mains. Cela va permettre à nos mains de s'entremêler et s'embrasser passionnément que cœurs nos s'adonnent l'un à l'autre en cet instant magique. »

Tel était la chanson qui marqua mon enfance, cette chanson que j'ai composer, en pensant à la personne qui sera mon prince charmant pour la vie. Je suis peut-être jeune pour penser à sa, mais ne peut-on pas rêver quand on a une vie de princesse ? J'aurai pu composer sur ma douce et tendre enfance, mais cela aurait été lassant. Et puis, la présence d'un véritable homme dans ma vie me ferait-tant de bien ; tant mon très chère père me délaisse si souvent pour le travail. Heureusement que Mary ma mère est tant présente pour moi, que ferai-je sans elle tout de même ? Celle qui par son simple sourire me comble et enlève mes larmes lors d'un bobo. -Dire que je suis censée être forte...- Être forte, chose que je n'ai jamais su faire à l'heure actuelle, malgré les demandes répétées de mes parents. Pourquoi l'être quand on a une vie digne d'une princesse ? Mais pourtant, un jour où l'autre il le faudra malgré que ce soit si dur. Surtout pour quelqu'un qui voit tout en rose comme moi... J'ai peur, un jour où l'autre la chute sera terrible je pense.
Le temps passe je grandis, la vie continue dans mon monde tout rose plein de folie, mais malgré cela je vois que pour mes parents, leurs relations se dégradent. Moi qui suis un peu sotte, je n'ose pas leur demander, je préfère rester dans mon monde avec mes amies que je vois de temps en temps. Car j'ai peur, peur que des choses tristes viennent gâcher tout cela. Ce monde si bien où l'on étaient tous ensembles. J'ai peur, vraiment mais je suis encore petite, c'est normal que je me pose tant de question. Mon insouciance un jour finira par me perdre, cela m'inquiète un peu mais bon, sans plus.
Et pour éviter tout cela, toutes mauvaises pensées, je me remis à composer et dessiner pour faire partir tout cela. - Pour toujours j'espère-. Car en aucun cas j'aime me faire du soucis et me poser des questions.

« M'en aller, s'évader. Oui v'la encore une autre saison une carte postale comme horizon ».

Le rêve si je pouvais partir, m'envoler comme une ange pour aller où bon me semble. C'est pourtant ce qu'il c'est passer je crois à l'âge de mes 10ans. J'ai du faire une bêtise, une énorme selon ce que ma dis ma mère, car je ne m'étais réveiller qu'un mois après. J'ai du tomber malade, gravement ; c'est sa d'avoir fait la folle en hiver. Mais bon, j'aimais pas mon manteau je me sentais grosse avec, c'est pas juste. Dire que les autres filles que je voyais était si belle et raffinée, sa m'en rendais malade. Mais au moins je sais que je dois plus refaire sa, j'ai fait si peur à ma chère mère.
Mon très cher père, m'avais enfin nous avait délaisser. Il n'était plus très présent, pourquoi je ne sais pas ? Je ne voulais pas le savoir, ma mère me suffisait. Sa présence était si importante pour moi, que sans elle je m'effondrerai. Et pourtant, même elle avait l'air de me cacher quelque chose, c'est si triste tout sa … Pourquoi j'étais à l'écart de tout sa ? Surtout que c'était fait exprès de me laisser comme sa. J'aimais pas, vraiment car un climat de plus en plus tendu était présent au manoir ; père qui s'absente si souvent, mère qui était distante où devais-je me situer ?
Heureusement qu'une chose me remontait tant, un beau jour un jeune homme m'avait tant plus. Il était grand, beau, original avec ces cheveux blancs et il avait surtout un regard si plaisant... Je n'ai jamais pu en savoir plus, car il m'avait fuit. C'est pour cela que je vis dans l'espérance de le revoir un jour, que je puisse lui plaire, qu'il puisse me compléter en étant mon prince charmant.
En attendant ce jour et de pouvoir aller partout, il faut bien que je fasse passer le temps non ?
Un an de plus était passé, père avait disparu de la nature ; dans le fond je m'en fichais car on le voyait plus, mais mère avait l'air si bizarre. Elle ma confiée que son heure était bientôt là, et qu'elle avait un secret à me confier. Pour avoir succéder à son rang de nobles, elle a du faire certaines choses avec l'église. Elle était devenue une sorte d'ange, d'ailleurs elle ne l'avait jamais montrée. Le besoin n'était sans doute pas là, mais maintenant il était temps que je reprenne le flambeau m'avait-elle dit. Ce jour-là j'étais en larme, je n'en revenais pas. Après avoir perdu père, j'allais aussi perdre mère ? La seule et l'unique pour qui je veux tout donner ? Naaan, naaaan c'est si dégueulasse.
Je mit pas mal de temps à me remettre de cela, mais maintenant j'étais devenue une ange. Je pouvais désormais aller où je le voulais, chose d'on j'avais espérer depuis fort longtemps. Mais maintenant, je devais faire en sorte de rendre hommage à ma mère, tout en ne perdant en aucun cas le but que je me suis fixé. Retrouvé ce bel homme qui m'a fuis.
Pendant un an j'avais donc fuis, loin de l'Angleterre sur les terres Japonaises. -Pourquoi ? Je ne sais pas, me demandait pas- Mais j'avais besoin de changer d'air, je prit donc le temps de me poser, de visiter, de découvrir la vie là-bas. Avant qu'a l'âge de mes 13 ans, je prit la lourde décision de revenir en Angleterre. Car c'est-là où devrais être sans doute, mon très cher et tendre prince.
Je retournait donc m'installer dans le quartier sud où était situé le manoir de mes parents, pour me poser et anticiper la suite.

« Le temps du renouveau ».