Intelligent, doté d'une force surhumaine, très habille, et terriblement modeste. Voilà en quelques mots mon caractère. Oh bien sur, ne pas penser que seules est là les traits de mon caractères les plus marquants. On va même dire que ce n’est pas la gentillesse qui m'étouffe, mais à quoi bon ? J'aime tout ce qui touche aux hommes, aux beaux mâles, forts, et qui savent me distraire. Sinon je es tue ! Faucher des âmes sans ma tronçonneuse m’ennuie, vous me voyez avec une faux normale . Enfin, c’est le Protocole… Que je n’applique pas 8D D’ailleurs, ont me punit souvent pour sa, et on me remplace mon bébé par de vulgaires ciseaux… e.e mais quand je fais une bonne action, Gloire a moi, on me rend ma chérie, mon amour, ma beauté, ma princesse ! J’en fais beaucoup, n’est ce pas . On va aussi dire que je suis un gai luron, enfin, dans ma manière de parler, de m’exprimer, ma gestuelle… On va même dire que je ne sais plus me tenir, quand un homme qui me plaît est tout prêt. Je peux sortir des conneries incroyables, mais je peux aussi être d’une grande aide… Dans tous les sens du terme.

Plutôt beau gosse, je suis assez grand, et une taille fine. J’ai de longs cheveux rouges, qui arrivent un peu plus beaux que mes fesses, ainsi qu’une mèche au-dessus de mes yeux. Je porte des lunettes, qui font le tour de ma tête, grâce à une petite chainette. La plupart du temps, j’ai une chemise blanche, une veste (celle au-dessus de la chemise blanche, on va dire qui ressemble à un gilet de barman.) dans les tons gris. Un pantalon marron, et des bottines noir et rouges, à talons. J’ai un manteau rouge, pris à une femme, et sur le derrière de celui-ci, un nœud noir. On peut m’apercevoir avec ma tronçonneuse, qui elle aussi, est en rouge. Avant, en tant que majordome, j’avais une simple tenue noire, comme tout domestique qui se respecte. J’aime me travestir en femme, je me trouve même souvent plus beau dans leurs vêtements que dans les miens. Quoi qu’il en soit, je suis souvent dans les tons rouges, et sa, ça ne changera jamais. Du moins, peut-être en noir, mais mes cheveux resteront de cette couleur flamboyante. Ah aussi ! J’ai les yeux verts, qui peuvent souvent allez dans les tons jaunes, enfin, les reflets quoi. Il se peut aussi que je me maquille ! Les lèvres, pour donner un baiser des plus fougueux à tout homme qui me plaît ! Mes habits peuvent aussi être un atout. J’ai un léger trait de crayon au-dessus des yeux, peut-être que c’est ça, le secret de mon regard ravageur.

Bien qu’il ait été le débile majordome de Madame Red, notre cher Grell ne parle pas de sa vie d’avant, bien qu’on se doute qu’il n’a peut-être pas était aussi… Coloré dirons-nous. Savoir son passé est une mission on ne peut plus délicate, mais peut-être pourrais-je vous en citer une partie… « Maman, maman ! Tu crois qu’il fait beau, là-haut . »
Une simple phrase, d’un petit homme on ne peut plus humain. Sa mère, bien que malade, ne lui faisait pas de mal. La maison était remplie d’objet et autres d’une très belle couleur rouge. Sa mère, belle, grand, élancée… Sa douce maman. Qui ce soir là, ne put se contenir de faire une énorme bêtise. Regardant le ciel, tout en accomplissant son sacrifice, peut-être pour elle-même, où peut-être que pour son bébé n’eut pas à vivre avec pour fardeau sa mère malade, glissant la chaine d’un outil qu’on ne citera pas, car maintenant, bien trop connu, autour du cou de son fils, le serrant de plus en plus. L’air lui devenant manquant, il tomba, sans vie.
Peut-être que l’histoire s’en serait finie a sa, a la triste mort d’un jeune garçon, qui même si n’a pas vécu longtemps, eu bien de la peine, pendant les quelques années de sa vie. (Que diable, j’invente de ces bêtises.) Les années passèrent, des enfants vinrent au monde, des personnes plus ou moins âgées mouraient, et elles aussi, pouvaient monter au ciel, Paradis ou Enfer .
Madame Red, suivit de son cher majordome, casse-pied, enchainé la nuit, tout type de meurtre. Retirant aux prostituées, leur utérus. N’ayant pu avoir d’enfant, elle retirer l’organe qui donner la vie, aux autres femmes qui ne prenait prenaient pas soin. Jack The Riper, c’était elle, c’était eux. Et Ciel et son majordome devaient payer. C’est alors qu’on remarque Grell, notre cher gosse, ce triste gosse, qui avait grandi. Rouge, tout de rouge… Une tronçonneuse… La chaine tintant au doux brun de la machine. Désormais cette Death-scythe qui lui avait retiré la vie. Maintenant, c’était sa faux, lui la faucheuse, qui avec son outil, retirer la vie à toute autre personne qui devait bientôt mourir. Mais tué son neveu, était trop pour Madame Red… Qui perdit la vie, de la lame dansante de la tronçonneuse… Grell Sutcliff, qui désormais, n’appartenait à personne, et qui jusqu'à la fin, avec l’objet de son martyre, retirer la vie à autrui.