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» Nom : Faustus.
» Prénom : Claude.
» Nationalité : Anglaise.
» Âge : Inconnue.
» Sexe : Masculin.
» Date de naissance : Il fut une époque
» Race : Démon.
» Rôle dans la société : Majordome.
» Sexualité : Neutre...

» Aime : Le travail bien fait.
» Déteste : Sebastian Michaelis...
» Autres détails : Je suis parfait ?

Distant, froid, peu aimable, Claude n'est proche de personne, sauf de son maître. Il ne sourit pas et rit, jamais, c'est peut-être même quelque chose qui reste rarissime, maintenant. Très protecteur avec son maître Alois, voire limite câline, si celui-ci pourrait le lui demandé. Très pointilleux sur tout ce qui pourrait lui être désagréable, il aime le travail bien fait. Il travaille en compagnie de quatre autres personnes, mais reste toujours au côté de son jeune maître. À le voir ainsi, monsieur semble très peu associable, et ne fait attention qu'à peu de chose. Il aime la propreté, et les araignées. D'ailleurs, nous supposons qu'il aime passer du temps avec elles. Il possède un pouvoir jour ne nuit, sous-estimant donc qu'il peut changer les choses en leur contraire. Détestant la lâcheté, il ne supporte que très peu les pleurent des personnes. Mais son maître, son maître... Il aime effectuer les actions que celui-ci lui demande à la perfection. il veut bien faire pour celui-ci. Il aime particulièrement faire des claquettes, même s'il n'en fait que très rarement, c'est quelque chose de plaisant, chez lui. Il semble apprécié faire les choses lui-même. D'ailleurs, chaque chose qu'Alois demande, c'est lui qui s'en charge. Avec volonté, si nous pouvons d'ailleurs nous le permettre. Il se bat avec des couverts en or, et il détient l'épée des démons. Il semble apprécié le fait qu'Alois lui fasse autant... D'avance ? Ou du moins, lui réclame de la tendresse, ou même de l'attention. Il aime que tout soit propre, tout le temps, et c'est pour cette raison qu'il passe la plupart de son temps dans le manoir. Tout faire soi-même, c'est la meilleure solution pour être satisfait.

Il est toujours habiller simplement, une chemise blanche parfaitement repassée, sans tâche, avec au-dessus de celle-ci un gilet de couleur noir. Au col se trouve un nœud papillon. Il porte un long pantalon, le tout agrémenté de chaussures simples, et noires brillantes. À la poche de son pantalon se trouve une petite chainette, reliée à sa montre. Le tout surmonté d'une longue veste, se terminant derrière lui en queue-de-pie. Jamais habiller autrement, il se peut que des fois, son gilet change de couleur. Du noir au gris, passant peut-être par le bleu foncé. Il garde toujours sa veste sur lui, donc impossible de savoir tout cela. Sans oublier les inévitables gants blancs, toujours entourant ses mains. Claude a la classe, et il le sait ! Niveau corpulence, notre merveilleux démon est assez grand, approchant du mètre quatre-vingt-cinq, musclé au point de nous faire rêver, même à travers ses vêtements, et… Imposant au point de vous ôter les mots de la bouche si un jour son regard or croise le vôtre. Ce sont les premiers adjectifs qui peuvent qualifier le majordome de la famille Trancy. Il est également très fort, une force dont il ne se serre d'ailleurs de celle-ci que pour protéger son magnifique et jeune maître. Claude, aaaah Claude… Ce héros. D’ailleurs, un majordome digne de ce nom ne peut se permettre de telle chose. Protéger son maître au péril de sa vie, même si pour le coup. Claude est aussi un majordome qui ne se soucie pas autant que Sebastian de la perfection de ses assiettes, ou de son accoutrement. Seul petite ombre au tableau, dirons-nous…

Le soleil lève le bout de son nez, sur le manoir Trancy, que j'étais déjà debout. Depuis le début du contrat, j'avais élu domicile dans cet appartement. Assez vaste, très peu décoré, juste tout ce qui fallait. tout ce dont j'avais besoin. Une armoire, un lit, une salle de bain dans le petit appartement qui se trouver à côté, relié au mien. À l'intérieur de l'armoire, une dizaine e costume, tel que je les porte toujours. Quelques paires de gants blancs, et des nœuds papillon, de couleur noire. Rien de plus, deux paires de chaussures, pour le moment, je n'avais jamais eu besoin d'autres paires. Après avoir fait ma toilette, je me mets à m'habiller. Je regarde alors la montre à gousset, attachée a la veste de mon costume. Il va bientôt être l'heure du réveil de mon maître. Me coiffant, et glissant alors les lunettes sur mon nez, je sors de la pièce qui m'est réservée, tout en faisant bien attention à la refermer derrière moi.

Me dirigeant alors à la cuisine, je salue la gouvernante et les triplés. Le déjeuner est déjà prêt, c'est magnifique. Essuyant les légères traces de sauce, je remarque que l'heure ne fait que tourner. Tout est parfait. De nouveau, je me redirige vers le second étage du manoir. Arrivé à la chambre du maître, j'ouvre la porte, la refermant directement derrière moi. Ceci fait, je me dirige vers les rideaux, les ouvrants d'un geste de bras vif. Maître Aloïs se réveille doucement, et je viens me poser à ses côtés, restant debout, bien droit, le regardant.

-Avez-vous passé une bonne nuit, maître ?

Le jeune homme en question frotta alors ses cheveux blonds, signe que la fatigue rester encore, malgré l'heure tardive qu'il était. Se levant alors lentement, il vint caresser mon visage. Je ne bouge pas, après tout, il ne faisait rien de mal. Malgré tout, il n'en restait pas loin d'un jeune homme fragile, qui se cacher sous une arrogance... Déconcertante. Mais ce n'est pas le sujet. Il me demanda de l'aider à s'habiller. Les vêtements étant posés sur le bureau en chêne, je n'eus qu'à les prendre, et lui enfiler. Et bien sur, mon jeune maître ne trouva rien de mieux que de rabaisser les collants qui se trouver à ses cuisses. Souvent, je me demande quand ses avances arrêteront. Ceci fait, je lui glisse ses chaussures, et ne peux m'empêcher d’étouffer un léger soupire, alors que je sens son regard pesant sur moi. Me redressant, quand il fit habiller dans sa totalité, nous nous mettions en route, pour ma part, encore une fois vers la cuisine. Je sens une matinée remplie de sous-entendus, de rires de sa part, et des envies de vengeance sur nos autres compagnons du manoir.

Mes journées et mes nuits, désormais, c'était cela. Ma nouvelle vie, sous ce masque, c'était mon histoire. A ses côtés.