| Sujet: Life is Nothing More than a Game. Dim 2 Déc - 20:17 |
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| [Seuls les administrateurs ont le droit de voir cette image]Ciel Phantomhive Feat. Ciel Phantomhive« Something once lost will never return. » [Seuls les administrateurs ont le droit de voir cette image] » Nom : Phantomhive » Prénom : Ciel » Nationalité : Anglaise. Depuis de nombreuses generations. » Âge : 17 ans. » Sexe : Masculin. » Date de naissance : December 14th, 1875. » Race : Humain. » Rôle dans la société : Noble. Comte pour être exact. » Sexualité : Inconnue. L'amour est un jeu qui ne m'intéresse pas.
» Aime : Ce que j'aime ? En tout premier lieu, je dirais les jeux, "je suis un enfant après tout..." Ma préférence va pour les Echecs, même si j'apprécie aussi les jeux de cartes, par exemple. Et comme tout bon joueur, je n'envisage pas la défaite. Je me plais à manipuler les gens à ma guise, une ruse facile et aux avantages bien nombreux. Autre chose : j'aime le calme, le calme et le silence, mais il m'est rare de les obtenir dans mon manoir... Passons. Enfin, je dois reconnaitre que les douceurs que me prépare Sebastian à l'heure du thé sont... irrésistibles. Mais il n'en saura pas un mot, n'est-ce pas ? » Déteste : La liste doit être plus longue, je l'avoue... L' idée que l'ont ait une longueur d'avance sur moi m'insupporte, même si le cas est peu fréquent. Mon passé m'appartient, j'ai horreur que l'on me prenne en pitié. Je n'aime pas que l'on me rappelle que je suis un enfant, je ne me considère pas comme tel, je suis le Comte de Phantomhive avant tout. Alors inutile de me faire une remarque sur ma taille si vous tenez à me voir rester courtois, cela va de soi. Et que je ne vous entende pas m'appeler "Chien de la Reine", je préfère le terme de Limier.
» Autres détails : J'ai parfaitement conscience que mon oeil droit suscite de l'intérêt. Mais n'essayez pas d'en percer le mystère, car le découvrir ne vous annoncerait qu'une fin bien funeste.
« Dog of the Queen » » Your Personnality « Commençons par le commencement, mon enfance. C'est une période qui me semble appartenir à mon passé à part entière, comme si celui que j'ai été était une autre personne. Avant cette fameuse nuit qui bouleversa ma vie, j'étais un enfant comme tant d'autres. Très ouvert, et sociable. Tout ce que je voulais, c'était que l'on fasse attention à moi. Par conséquent, je pouvais parfois être un peu trop bavard, capable d'aborder de parfaits inconnus dans les rues de Londres. Très peu pudique, je témoignais de l'affection à qui en avait besoin, et l'honneur ou la timidité étaient des notions inconnues pour moi. Souriant à souhait, à longueur de temps ; heureux de vivre, tout simplement. Mais ce temps est révolu.
J'ai grandi. Un peu trop vite, d'après ceux qui ignorent le fardeau de mon histoire. Désormais, je suis plus mature, plus lucide. Mais aussi plus distant et réservé. Voire glacial : à quoi bon raconter ma vie ? Je n'en ai pas l'envie, donc je ne le fais pas, et s'il y a bien une chose qui m'insupporte, c'est la pitié. Pour cela, je suis assez simple : je n'ai rien à dire, alors je me tais. Pourtant, des choses en moi sont restées les mêmes qu'auparavant. J'ai grandi dans un milieu aisé, où tout m'a toujours été apporté, à ma demande. Et c'est tout à fait naturel. Vous me trouvez capricieux, autoritaire et très exigent ? Si vous le dîtes. Mais je ne suis pas n'importe qui. J'admets être hautain, et je ne manque jamais de rappeler que j'ai bien plus de pouvoir que le commun des citoyens anglais, chose que les autres ont tendance à omettre avec pour simple cause mon jeune âge. Je ne tolère pas non plus que l'on me manque de respect.
Que dire d'autre ? Il est vrai que je peux paraître "sociopathe", parfois - un terme récent en psychologie que l'on croise parfois dans les journaux - mais particulièrement si votre sort ne m'intéresse pas. Et bien que cela soit dur à admettre, je reste humain, je ne suis pas dépourvu de sentiments. Le bonheur, ou du moins le bien-être des autres, plutôt de ceux qui le méritent me préoccupe. Mais jamais vous ne me verrez le dire une fois de plus ! J'ai aussi appris à réfléchir avant d'agir, je suis un fin stratège et mes décisions sont toujours méditées. Comme aux échecs : si l'on joue trop vite, on commet des erreurs. Je suis plus mature que les "adolescents" de mon âge, je sais être réfléchi. "Comme un adulte" ? Possible. Face à la plupart des situations, je reste calme, je sais me contrôler et garder mon sang-froid. Je suis alors passif, et peu expressif. Sans doute parce que j'ai déjà tout calculé, allez savoir : j'ai souvent un tour d'avance. Mais parfois, il se peut que mon adversaire soit le destin, alors je ne contrôle plus rien, ce que je déteste. Je n'ai d'autre choix que de montrer une part de mon "autre nature" et je joue la carte de l'agressivité. Je deviens plus susceptible lors de mes excès de colère.
Aussi, je suis naturellement perfectionniste, prêt à recommencer la même chose plusieurs fois tant que je ne suis pas satisfait du résultat. Et on peut dire que j'ai "deux personnalités" : Ciel, et le Comte de Phantomhive. Je crois que vous comprenez ce que je veux dire. Au milieu de la société, comme dans les soirées mondaines - que je fuis comme la peste noire -, j'arbore un tout autre visage. Je suis poli et très courtois. Souvent même bien hypocrite ; on dit que c'est le masque de la société, n'est-ce pas ? Comme tout aristocrate, je sais en jouer. Mais tout dépend d'avec qui je me trouve: si je suis accompagné de Sebastian, je deviens plus exigent, plus autoritaire. J'attends beaucoup de la part du majordome de la famille Phantomhive. Mais je dois l'avouer, je suis plus naturel et moins inflexible dans mes décisions en sa présence. Par contre, je serai plus "gentil" et attentionné à l'égard de ma cousine et fiancée, Elizabeth "Lizzy" Middleford.
Si je vous dresse ici un tel portait, ne pensez pas que la mort de mes parents n'a pas influencé mon caractère. Depuis cet incident, j'ai perdu ce sourire autrefois imprégné de candeur et d'innocence enfantine. Tant mieux. Autre chose : je ne suis pas dupe, j'ai parfaitement conscience que l'incendie qui a causé la perte de mes parents n'était pas accidentel, mais criminel. J'espère que vous l'avez compris ; je désire retrouver ceux qui ont provoqué leur fin tragique. J'ai appris à faire de la vengeance un allié, car ce sentiment ne me quitte plus depuis longtemps à présent. Je le côtoie tous les jours, un point tel que les arguments réfléchis ne pourraient me raisonner lorsque je me trouve guidé par des pulsions emplies de haine et de rage, incontrôlables. Ce désir de vengeance me consume, c'est vrai, et il est devenu obsessionnel. Il est ma raison de vivre.
» Your Physical Features « Tiens, c'est amusant que vous abordiez le sujet. En lisant le journal ce matin, un article m'a frappé : son auteur ? "Sir Arthur Conan Doyle", le médecin que j'ai accueilli dans mon manoir lors d'une affaire en huis clos. Dans la nouvelle écrite de sa main, une dédicace évidente... Je vous laisse en lire les premières lignes."C'est alors que parmi la foule, la silhouette d'un jeune homme et celle de son majordome se détachèrent de celles des autres invités. L'enfant n'était pourtant pas plus grand, bien au contraire, mais quelque chose dans son allure respirait la noblesse qu'il représentait ; se tenait devant moi le baron de Ghostnest, un titre bien surprenant pour son jeune âge. Il se déplaçait peu, toujours en faisant retentir une canne d'ébène et d'argent faite sur mesure et parfaitement adaptée à sa taille. Sa coiffure était peu commune, de nombreuses mèches sombres et lisses masquaient son front. La sobriété de son costume renforçait son teint d'une pâleur surprenante, plus proche de celui d'un cadavre que d'un être de chair en bonne santé. Il était de plus un peu trop maigre, on devinait assez aisément ses os sans que cela en soit choquant. Il était frêle et gracile, quelque chose en lui inspirait une certaine fragilité plus courante chez les femmes. Ses mains étaient gantées de cuir noir, mais il avait pris le soin de mettre sa chevalière en évidence, sans doute pour souligner son rang avec fierté et discrétion. Les parures que portent les héritiers sont généralement faites en or et en rubis ; celle-ci était en argent et luisait parmi les incrustations une pierre bleue à la valeur sans doute inestimable, mais elle dégageait une aura étrange, presque dérangeante. Sur sa tête était dressé un haut-de-forme parfaitement assorti au reste de la tenue et finement décoré. Il ne ressemblait en rien aux bourgeois qui possèdent ce complexe d'infériorité, ou ces aristocrates qui tiennent à c que l'on soit incapable d'oublier leur rang ne serait-ce qu'un instant, de ce jeune Lord émanait plus de grâce et de spontanéité. Un sourire forcé de courtoisie se dessinait sur son visage aux traits fins bien qu'encore enfantins. L'expression sérieuse et maussade de son regard aigue-marine ressemblait davantage à celle d'un adulte ayant déjà une bien longue vie derrière lui. Un seul de ses deux yeux étaient visible, immense et cerclé de nombreux cils noirs à la longueur notable. Son oeil droit était dissimulé sous un cache-oeil de velours noir pour des raisons qui demeuraient encore obscures pour moi."
» Your Story « On dirait que vous aimez aborder les sujets déplacés. J'hésite encore à lever le voile sur mon sombre passé. Êtes-vous sûr de vouloir le découvrir ? Very well. Mais vous aurez été averti.
Fruit de l'union de Vincent et Rachel, et destiné à un avenir radieux au sein de la famille Phantomhive, je suis né à Londres, le soir du quatorzième jour de décembre de l'année 1875. Mon avenir était déjà tout tracé à l'instant même ou j'ai ouvert les yeux : tout comme mon père, et tous ses prédécesseurs, il était déjà dit que je serai l'héritier du blason familial, le Comte de Phantomhive. Mais aussi que je serai à la tête de l'entreprise Phantom, fabrique de jouets et de confiseries d'une rare qualité et dont la réputation n'est plus à faire. Quant aux relations, je n'avais déjà pas à me soucier de mon mariage ; j'ai été fiancé très tôt à ma cousine Elizabeth Middleford. Un mariage arrangé, oui. Bien que cette situation ne me dérange pas : j'ai tout de même de l'affection pour Lizzy. Autrefois, elle venait tous les jours au domaine des Phantomhive, accompagnée de ses parents et de notre tante, Angelina Durless. Nous avons grandi ensemble. Et chaque jour, aussi loin que j'en garde le souvenir, ne se passait au manoir sans éclats de rire. Aussi, comme tous les enfants, j'attendais l'année entière et avec beaucoup d'impatience mon anniversaire, jour que je considérais comme le plus merveilleux, Noel mis à part of course. Belle époque, n'est-ce pas ? C'est vrai. Mais tout ceci était avant que ma vie bascule, et que ce rêve ne devienne cauchemar.
Alors que j'allais fêter mon dixième anniversaire "en famille", en présence de mes parents, un incendie s'est déclaré au manoir. Je me rappelle encore de chaque détail de cette sombre soirée. J'étais parmi les flammes, cherchant mes parents qui demeuraient introuvables au milieu du brasier. C'est alors que dans le salon une silhouette se dessina, assise paisiblement dans un fauteuil. Je voyais sa chair se calciner peu à peu. Qui était-ce ? J'ai préféré fuir la réalité, la vision en était trop atroce pour un enfant. Mais qui que ce fut, il n'avait plus aucun espoir de survie. Les flammes étaient intenses, et je finis par ne plus voir quoique ce soit tant leurs lueurs étaient vives. J'ai été forcé de quitter le manoir. Je pense avoir versé toutes les larmes de mon corps au cours de cet "accident". Non, cet incendie n'avait rien d'accidentel ; il était criminel, j'en suis persuadé.
Mais... Ma descente aux Enfers ne s'est pas achevée à la mort de ma famille. Quelqu'un - si seulement je savais qui... Son visage était dissimulé. - m'attrapa alors que je fuyais la demeure de cendres. Mes appels à l'aide demeurèrent sans réponses, et M. Tanaka, le majordome de mes parents, semblait avoir disparu. Les jours suivants, je les passai dans une cage tel un vulgaire chien des rues, les drogues coulant dans mes veines pour seule nourriture. C'est alors que ma mémoire me fait défaut, j'ai fini par perdre connaissance. Je ne sais combien de temps s'est écoulé, mais lorsque j'ouvris de nouveau les yeux, on me déshabilla totalement dans l'obscurité la plus totale à défaut de quelques bougies luisant dans la pièce et on me plaça sur un autel. J'avais désormais pour seul vêtement un drap et me trouvais étendu au milieu d'une assemblée masquée lorsque je repris parfaitement mes esprits, les drogues sans doute dissipées. Les inconnus voilés s'approchèrent de moi un fer rouge vif. Bien que je tentai de me débattre, ils marquèrent mon flanc gauche d'un sceau dont j'ignore encore la signification, leur sceau, sans doute. J'en porte encore la marque aujourd'hui. En commettant cet acte irréversible, ils m'ont attitré victime de leur culte macabre, et par conséquent, j'étais voué à un sacrifice dont j'allais être l'objet. Je revois le poignard de celui qui semblait présider l'assemblée luire au-dessus de ma tête, avant de s'abattre sur moi. Le but de tout ceci ? Invoquer désespérément un être "de l'Autre Monde". Et c'est exactement ce qu'il se passa.
La suite, je vous la raconte car je la devine. J'étais bien mort l'espace de quelques instants. Un démon apparut et se manifesta, mais c'est à moi qu'il s'adressa sous la forme d'un corbeau noir. Non, ce ne sont pas des légendes comme dans les livres. Tout cela est bien réel. Parlant par énigmes, je devinai qu'il comptait me proposer un pacte : il désirait me ressusciter, et me venger des responsables de ces crimes, tout en m'étant dévoué et fidèle. En échange, mon âme devait être condamnée à lui appartenir une fois ma vengeance accomplie, et sa mission achevée. Je n'ai pas hésité un seul instant. Oui, j'ai vendu mon âme au Diable. Le jeu en vaut la chandelle : je n'ai que faire de la mort, après en avoir eu cet avant-goût si amer. Je porte la marque de ce pacte sur mon oeil droit à présent.
Tous les hommes masqués présents périrent, et je revins à la vie. Je décidai de baptiser le démon qui allait me servir. Il s'appelle à présent Sebastian, en l'honneur de mon jeune chien qui est mort au cours de l'incendie. Sebastian Michaelis. Il est devenu mon majordome, et la première de ses actions fut de rebâtir un manoir parfaitement identique à celui consumé par les flammes dont les bases recouvriraient la terre de cendres. Puis il partit à la recherche de domestiques qu'il qualifiait comme "hors pair" ; j'exige un personnel qualifié. Il revint peu après avec Bardroy, un soldat américain rescapé de guerre qui est aujourd'hui cuisinier, May Linn, une tireuse d'élite désormais soubrette, et Finnian, un jeune homme ayant subi des expériences le dotant d'une force surhumaine qui est à présent jardinier. Ainsi que M. Tanaka, qui ré-apparu peu après. Depuis ce jour, nous vivons tous au sein du manoir récemment reconstruit des Phantomhive.
Voilà près de sept ans que j'ai fait la connaissance de Sebastian, sept ans qu'il cède au moindre de mes caprices chaque jour. Sept ans que je me suis relevé alors que j'avais été précipité au fond de l'abîme. J'ai repris la tête de la Phantom Co., et comme mes parents avant moi, je suis au service de Sa Majesté la Reine Victoria, en tant que son premier limier. Je lui suis dévoué et loyal, un peu comme un chien. Une tâche qui n'est pas des plus aisées et des plus reposantes, je vous l'accorde. Mais Sebastian est là pour me venir en aide et me protéger, quoiqu'il lui en coûte. Il me suit comme mon ombre si je lui en donne l'ordre : cela fait partie de notre contrat. Mais vous vous doutez que quand on a un "Diable de Majordome" à son service, on ne peut pas sombrer dans les banalités du quotidien. J'ai d'ailleurs rencontrer des êtres et des créatures qu'enfant, je n'aurais pu les imaginer en dehors de contes chimériques.
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Pseudo : Extasy Age : 19 ans. Loisirs : Vaste question... Niveau RP : Hmm... 5 ou 6 ans je crois. Comment as-tu trouvé le forum ? Sur un moteur de recherches. As-tu lu le règlement ? Validé par Céleste Autre chose à dire ? Oui. L'affaire de Jack the Ripper se déroule en 1889. Donc selon le contexte, l'histoire est trois ans plus tard, non quatre. © Codage by Doll pour London Butler - Tout plagiat partiel ou complet est interdit.
Dernière édition par Ciel Phantomhive le Jeu 6 Déc - 19:29, édité 2 fois |
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Sieghard Heiderich❝ Peste Londonienne ❞
Messages : 68 Date d'inscription : 22/04/2012 Localisation : In Southern Districs, but don't come see me please.
| Sujet: Re: Life is Nothing More than a Game. Jeu 6 Déc - 17:55 |
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| Le double-post n'est pas grave, au contraire, il vaut mieux nous avertir quand la fiche est finie~ Enfin, pour les images, effectivement, il serait bien que tu postes une requête dans le sous-forum mis à disposition, cependant, tu peux très bien m'envoyer un message privé, me communiquant les informations voulues, ceci ne me dérange pas.
Pour ce qui est de la fiche je n'ai rien à redire, l'orthographe est nickelle, de plus j'aime beaucoup ta façon d'écrire, mais ceci n'est que mon avis personnel. Enfin, il ne manque plus qu'a rajouter les images (et l'avatar) manquantes puis envoyer le RP-test aux administrateurs enfin je pense que tout sera parfait. |
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